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VENEZ NOUS RENCONTRER
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EPITA aux 24h du Mans, en rollers.

Michael Pereira (21 ans) est en 1ère année du cycle ingénieur à l’EPITA.  Inscrit avec une équipe composée d’étudiants du campus aux 24 h du Mans en Rollers, il nous livre, avant de partir s’entraîner, ses impressions sur la compétition à venir et les ambitions de l’équipe sur le podium étudiant.

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« Les 24h du Mans Roller, c’est la plus grande course en rollers d’Europe. Elle rassemble des milliers de passionnés, un peu plus de 15 000 (ils étaient 600 pour la 1ère édition en 2000). Cet événement a lieu sur le circuit mythique les 27 et 28 juin 2009. J’y vais pour la troisième année consécutive avec l’équipe du campus (IIT Roller Team) : nous sommes une quarantaine d’inscrits dans toutes les écoles du groupe et une vingtaine se déplacera au Mans pour la course.

Le départ sera donné le samedi 27 juin à 16H, après une séance de qualifications déterminant les positions sur la grille de départ. Composée de 1 à 10 membres, chaque équipe va s’élancer dans un long raid de 24H. En règle générale, les équipes effectuent un passage de relais à la fin de chaque tour de piste. Nous courons au total entre 70 et 80 kilomètres : c’est une vraie épreuve d’endurance.

Pour des raisons logistiques, nous dormons au plus près de la piste…car nous ne pouvons pas trop nous en éloigner ! En effet, la course est une course de relais. Un seul membre de l’équipe est sur le circuit puis il est relayé par un autre coureur. Un tour nous prend dix minutes (4,4 kilomètres pour la boucle), nous en faisons dix puis vient le moment du repos. Le système fonctionne sur ce modèle en journée…mais les 24h du Mans c’est aussi une course de nuit !

Quand le jour décline, nous espaçons les relais pour que le temps de repos soit plus large. Nous fonctionnons en binôme : chacun fait un tour puis passe le relais à son collègue et ce pendant 3 heures d’affilées. Nous disposons donc ainsi pour la nuit de deux à trois plages de repos.

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C’est une course internationale : on y retrouve des Espagnols, des Hollandais, des Québécois, des Japonais. Les étudiants sont minoritaires même si un podium leur est réservé car c’est un événement sportif avant tout : les inscrits sont des accros à la vitesse dans la plupart des cas. L’équipe du campus existe depuis 2002 et, à part une année, nous sommes toujours montés sur le podium (troisième en 2008) : nous visons la seconde place cette année, juste derrière des Hollandais quasi pros, qui font énormément de patin à glace toute l’année ».

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