Good geek / Bad geek
Le propre des clichés est d’avoir la peau dure, mais également d’aiguillonner l’envie des uns et le dégoût des autres. Les clichés ont une belle carrière dans les arts de la représentation en général, et dans le cinéma en particulier.
L’univers de l’informatique a lui aussi ses clichés. Et si l’on s’intéresse à la distribution des rôles, en transposant le cliché très policier et très cinématographique du good cop/bad cop, on pourrait aboutir à un couple du genre good geek/bad geek.
Le good geek : celui ou celle qui maîtrise sa technologie et en fait son métier ou du moins transforme sa passion en activité productive.
Le bad geek : celui ou celle qui est accro à son ordinateur et pour lequel/laquelle l’informatique est un facteur de dérive personnelle, d’isolement et de fermeture.
Bill Gates et Mark Zuckerberg d’un côté, le no-life anonyme meublant le décor de films de société contemporains de l’autre.
Il fallait y penser. L’association Pascaline l’a fait. En effet, cette association qui vise à promouvoir les métiers de l’informatique et dont l’EPITA est partenaire organise actuellement une campagne prenant la forme d’un jeu – concours sur le thème « Good geek, bad geek, pour toi c’est quoi la différence? Joueur fou, esclave de la technologie, ingénieur télécom ou développeur web … Penses-tu qu’il faille forcément être geek pour bosser dans l’informatique? »
Les lycéens souhaitant participer ont jusqu’au 17 avril pour poster une mini-vidéo présentant leur vision du good geek ou du bad geek. Un prix est à la clé : le meilleur good geek et le meilleur bad geek gagneront chacun un Mac Book Air, selon le vote des internautes.
Les modèles
Good Geek
Bad Geek
Pour participer ou pour voter : http://apps.facebook.com/filmeungeek