Quand les 1res années découvrent les nouveaux campus en régions : focus sur l’EPITA Lyon
Cette rentrée 2017-2018 est un peu particulière dans l’histoire de l’EPITA. En effet, elle marque officiellement les débuts de quatre nouveaux campus à Lyon, Rennes, Strasbourg et Toulouse ! L’occasion pour de nombreux étudiants de commencer leur cursus en régions, avant de plus tard rejoindre leurs homologues parisiens afin d’effectuer le cycle Ingénieur proposé par l’école. En attendant ce moment charnière qui interviendra en 2020, huit étudiants de 1re année racontent leur découverte de l’EPITA. Pour ce premier épisode consacré à l’EPITA Lyon, la parole est donnée à Charles et Maëlys !
Charles et Maëlys, deux nouveaux EPITéens installés à Lyon !
Maëlys vient d’Île-de-France, Charles de Provence, mais c’est bien à l’EPITA Lyon qu’ils ont décidé de commencer leurs études supérieures. « J’avais pu découvrir Lyon l’année dernière et ça me semblait une ville particulièrement charmante et étudiante, explique Charles, convaincu dans sa décision par une visite des locaux. Ils me paraissaient adéquats à des études et très agréables ! » Du côté de Maëlys, venir dans la cité des Gones représentait également un bon moyen de prendre son envol : « Mon choix du campus s’est fait pour deux principales raisons. D’abord, son emplacement dans le centre de Lyon et donc sa proximité avec les transports, les lieux de restauration, les résidences étudiantes, etc. Ensuite, une envie d’indépendance. Étudier ici, c’est l’occasion de ne plus vivre avec mes parents, d’apprendre à me gérer seule, à me responsabiliser… »
Au-delà de la ville, si les deux EPITéens ont voulu rejoindre l’EPITA, c’est pour une seule et même raison : l’informatique. « C’est un thème qui me tient à cœur et que je souhaitais approfondir lors de mes études post bac, détaille Maëlys, également séduite par « l’ambiance et la richesse de la vie associative » entraperçues lors des Journées Portes Ouvertes. « Ma décision s’est aussi basée sur le diplôme reconnu et les connaissances que l’école nous permet d’acquérir, mais pas seulement. L’ouverture à l’international a été pour moi un autre critère important. » Même discours chez Charles. « Je recherchais des études permettant de m’assurer une place sur le marché du travail, mais toujours dans l’informatique. Mon frère, qui fait ses études à Epitech, m’avait parlé de l’EPITA car je recherchais des études en informatique plus généralistes. »
Après avoir vécu leurs premières semaines de cours, les étudiants ne regrettent pas leur orientation, même s’ils doivent encore s’adapter à une cadence encore nouvelle pour eux. « Mes premières semaines d’études ont été denses, note Maëlys. Je trouve la charge de travail personnel très importante. Elle n’a rien à voir avec celle du lycée. De plus, le rythme des cours est soutenu. Il est indispensable de s’organiser sans quoi on peut se sentir dépassé. D’ailleurs, les cours fonctionnent d’une manière différente – il faut préparer les exercices et les leçons à l’avance chez soi – et cela m’a déstabilisée au départ. Pour autant, cette pédagogie me parait bien plus intéressante que celle que j’ai pu connaître auparavant ! » Pour Charles, cette quantité de travail est aussi bénéfique pour renforcer la cohésion au sein de la promotion. « Ça se ressent dans le travail commun avec les autres étudiants : il y a une complicité qui se crée, mais toujours avec le travail au centre ! »