2018, une année riche pour la vie associative à l’EPITA
Avec plus d’une quarantaine de structures culturelles, entrepreneuriales, sociétales, sportives ou encore technologiques, la vie associative à l’EPITA permet à tous les étudiants de pouvoir se découvrir une passion ou de cultiver celles qu’ils possèdent déjà… Et cela n’est pas près de s’arrêter depuis la rentrée 2017-2018 avec l’ouverture de nouveaux campus en régions comme le confie Anne-Sophie Pachet, responsable de la vie associative au sein de l’école.
Quelques images du week-end d’intégration mérité pour les étudiants de la promo 2020 passés par la Piscine en début de cycle Ingénieur
Depuis le début de l’année 2018, quelles sont les nouveautés propres à la vie associative à l’EPITA ?
Anne-Sophie Pachet : La principale nouveauté de cette année concerne le Bureau des Étudiants (BDE) ! En effet, le BDE a suivi de près l’ouverture des nouveaux campus en régions à Lyon, Rennes, Strasbourg et Toulouse destinés aux étudiants du cycle Prépa et a ainsi décidé d’ouvrir une antenne locale sur chaque site. Avant cela, le BDE a organisé un grand week-end d’intégration au mois de septembre pour réunir à Paris l’ensemble des EPITéens de 1re année et créer une vraie cohésion au sein de la promotion 2022. Cet événement a justement permis à l’équipe référente du BDE de repérer les étudiants en régions susceptibles de pouvoir les représenter sur leur campus pour animer la vie de l’école au quotidien, le tout en relation étroite avec un responsable des antennes au sein du BDE parisien. Depuis, les événements et animations en régions se succèdent pour le plus grand plaisir des étudiants. Je pense notamment au séjour à la montagne organisé par l’antenne lyonnaise qui a attiré de nombreux étudiants du campus pour quatre jours de ski au soleil !
D’autres associations bien connues des étudiants parisiens vont-elles également s’exporter ?
Les initiatives se lancent petit à petit, c’est vrai ! On peut notamment citer l’association Synergie, qui œuvre beaucoup pour la démocratisation des sciences auprès du jeune public – en particulier le public féminin – a déjà commencé les démarches en régions, notamment pour proposer de nouvelles Journées Synergiques. Il ne faut pas non plus oublier Cycom, l’association d’e-sport, qui cherche à se développer, ni Prologin, dont le stage Girls Can Code ! a déjà fait l’objet d’une déclinaison à Lyon et Bordeaux l’été dernier, qui s’organise aussi pour s’implémenter sur place. Cela se fera progressivement, suivant l’envie des étudiants en régions.
Cycom a récemment organisé un grand tournoi de jeu vidéo à Paris
Le stage Girls Can Code ! 2017 de Prologin à Bordeaux (à gauche) et l’une des Journées Synergiques de Paris (à droite)
Quels grands événements vont rythmer 2018 ?
Comme chaque année, nous allons avoir un planning assez chargé, avec des événements réguliers chaque semaine pour les étudiants et les visiteurs externes, comme justement les Journées Synergiques, mais aussi des rendez-vous devenus incontournables au fil des ans. On retrouvera ainsi la finale du Concours national d’informatique organisée par Prologin sur le campus parisien du 18 au 21 mai, mais aussi la prochaine Convention Epitanime, de retour pour une 25e édition les 2 et 3 juin, ou encore le Challenge du Monde des Grandes Écoles et Universités (CDMGEU) auquel participeront les sportifs de l’EPITA le samedi 9 juin au Stade Charléty.
Lors de la finale du Concours national d’informatique, le campus de Paris est à la fête (à gauche)
Un des membres de l’équipe de foot d’Episport, lors du CDMGEU
La Convention Epitanime, une valeur sûre de la vie associative EPITéenne
Au niveau des associations, est-ce que de nouvelles structures ont vu le jour ?
De nouvelles associations fleurissent chaque année à l’EPITA, mais certaines doivent attendre un petit peu avant de trouver leur public et leur rythme de croisière. Parmi celles qui ont su rapidement tirer leur épingle du jeu depuis leur récente création, se trouve Epiqueer, une association pensée pour sensibiliser les étudiants à l’orientation sexuelle LGBT+ et permettre aux premiers concernés de parler librement autour d’un café ou lors de conférences dédiées. Sa création est salutaire et fait d’ailleurs écho aux nombreuses actions menées par l’EPITA en faveur de la parité et la mixité dans le monde de l’informatique.